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de Koningin van Engeland 1) geopend en twee brieven van den heer de Porteclaire
van 4 Juli 1662; hij maakt aanspraak op nog 700 livres, terwijl hij reeds 1100 heeft
ontvangen. Wat moeten wij toch doen voor die arme gevangenen, nu ook de
rechtspraak der pauselijke ambtenaren verboden is? Kunt gij er niets op vinden?
Het zijn zes fatsoenlijke lieden. D'Orange, ce 29 e Octobre 1662.
5950. Lubieres. (H.A.)
De heer de Beauregard is gisteren teruggekomen en de heer de Gaut heeft de
vreemde leden van het Parlement verzocht nog niet te vertrekken. Men wil dus zeker
spreken over de rekeningen van Beauregard. Kunt gij niet iets doen voor de arme
gevangenen te Avignon? Orenge, ce 29 d'Oct. bre 1662.
5951. De predikanten en ouderlingen te Oranje. (H.A.)
Wij roepen uwe hulp in voor zes arme gevangenen, die hun plicht hebben gedaan
en nu bedreigd worden met levenslange gevangenschap of met de galeien.
D'Orange, ce 29 e Octobre 1662.
5952. Aan J. Sauzin. (H.A.)
Je feroy response en peu de temps sur ce qu'il y a de plus considerable en vos
deux dernieres d'Orange et d'Avignon, comme aussi à celles de M. de Lubieres du
22 e du courrant 2) . Il y a quelque chose que j'attens pour le faire avec plus d'efficace.
En attendant je ne puis me retenir de vous dire qu'asseurément deux choses seront
trouvées fort estranges à la Haye, l'une que - comme nous entendons - le Parlement
se seroit advisé d'ordonner le payement de ses gages aux commis des fermiers de
S.A. à qui seule en compete la disposition, de l'advis de sa Tutele; laquelle tout le
monde sachant bien estre concentrée en S.A. Madame la Princesse Douariere, on
ne sçaura que penser de veoir empieter sur son autorité par ceux qui sont tenus
de la maintenir, veu mesmes qu'il n'y avoit rien de si pressé en ce payement qu'on
n'eust fort bien pû attendre les ordres de S.A. auxquels on pouvoit bien juger qu'il
n'y auroit aucune difficulté. Vous ferez donc bien d'advertir tout le monde, en suitte
de ce que je vous ay mandé par le passé qu'il ne peut sortir aucun payement, hors
des mains desdits fermiers que par ordonnance expresse de sadite Alt. e , ou de tels
qui se trouveront authorisez par elle pour cest effect.
Le second article dont je suis obligé de vous parler, c'est qu'il semble que quelques
uns pardelà disposent provisionellement des revenus de l'evesché à leur poste,
sans que jusques ores on apprenne que personne se mette en peine
1) Zie No. 5873, 5884 en 5896.
2) No. 5941.
Constantijn Huygens, Briefwisseling. Deel 5: 1649-1663