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et les autres. S.A. m'ordonne en suitte de vous advertir qu'elle n'affecte point ceste
qualité de Regente, que vous luy donnez, desirant qu'à l'avenir vous ne vous en
serviez plus. En effect, vous sçavez que la Tutele est regente de la personne et des
biens de S.A. Monseigneur, et comme S.A.M. agit seule pour tous, qu'on n'a que
faire de la specifier plus regente d'un costé que d'autre. - Soyez adverti de vous à
moy que par le S. r de Martinon j'ay faict demander au S. r de Beauregard qu'il me
declare par escrit de sa main s'il pretende se prevaloir de ladite clause de l'arrest
du Roy, et que quand mesmes il aura dit et signé que non - comme son amy ose
m'asseurer qu'il fera - on n'en croira rien qu'on ne voye qu'il verifie sa parole par les
effects, c'est à dire qu'il laisse disposer S.A. de son bien, et en renonçant à toute
autre intervention n'implore que sa bonté et sa justice, que desjà on luy a faict
promettre si formellement. Ayez l'oeil sur ce qui se passe, et ne cessez, s'il vous
plaist, de m'en donner advis. Je vous ay assez entretenu sur le subject des
prisonniers par de mes precedentes. Je prie Dieu de vous benir de toute prosperité
..... A Paris, 16 e Mars 1663.
Le S. r de Beauregard s'est plaint au S. r de Martinon d'une lettre injurieuse en son
regard que je vous auroy escritte, et cestuyci s'est trouvé bien estonné quand je luy
ay faict veoir que c'est ceste lettre mesme que je luy avoy communiquée avant que
l'envoyer, qu'il avoit tant louée, et de laquelle il m'avoit tant recommandé de procurer
que son ami eust une copie.
6045. J. Sauzin. (H.A.)
Uit den brief van den heer de Lubieres en uit de bijgevoegde ordonnantie van den
heer de Bedarrides blijkt, dat de laatste zich nu ook met de rechtspraak bemoeit 1) .
Het Parlement moet bestaan uit een gelijk aantal katholieken en gereformeerden,
maar eene instructie kan gehouden worden door dat lid, dat het eerst van de zaak
kennis heeft gekregen. Als de aanslag van de Bedarrides gelukt, kan men het
Parlement wel sluiten. A Orange, ce 18 Mars 1663.
6046. Lubieres. (H.A.)
De heer Holtzhalb 2) , eerste regent van het College, had de stad aangesproken voor
de betaling van zijn tractement. Hiermee heeft de Bedarrides zich op brutale wijze
bemoeid. Als de toestand zoo blijft als nu, zou het beter zijn, dat wij allen ons ambt
neerlegden. Alles wordt toch op het kasteel beslist. A Orenge, ce 18 e de Mars 1663.
6047. Aan graaf de Brienne Jr. 3)
. (K.A.)
Fortasse me jocari credes, Lomeni illustrissime. Ego vero perquam serio dicturus
sum quod hic leges. Ab eo tempore, quo in animum induxisti divor-
1) Zie No. 6042.
2) Hij heette Beat Holtzhalb.
3) Zie No. 6025.
Constantijn Huygens, Briefwisseling. Deel 5: 1649-1663