ARCHEION

GROMADZENIE ZBIORÓW ARCHIWUM BERNARDYŃSKIEGO…
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archive was brought under the management of the National Division and was officially renamed
the National Archive of Borough and Land Records in Lvov.
A new era of the Archive’s history began after the rebirth of the independent Polish state in 1918.
Since 1 October 1919 the archive was brought under the management of the Division of State Archives
and was once again renamed, this time the Land Archive in Lvov. The Archive belonged to the
group of archives of the interwar period that stored a major portion of the archives from the period of
the First Polish Republic (14.7%). As at 1929 there were 1,569 running meters of records kept by the
archive (including: 1074.60 running meters of documents from the period of the First Polish Republic,
493.94 running meters from the period of Poland’s partitions) accounting for 2% of the-then national
archive resources.
During its existence, the Bernardine Archive’s had achieved a high scientific and organisational
level. Storing the greatest collection of books of borough and land courts, it played an important role
ensuring that archive records of Galicia’s state offices and private persons were maintained. That
aspect of the archive’s operations was very important, as valuable parchments, court ledgers, self-
-government documents and different types of records regarding the legal functioning of towns and
villages of Galicia were saved from loss or destruction and access thereto was ensured for scientific
purposes.
Wołodimir Dolinowski, Collection des documents d’Archives des Bernardins à Lviv dans les
années 1784–1933. La réforme du système judiciaire qui consistait en la liquidation des tribunaux
municipaux et des cours provinciales itinérantes en Galicie, et l’instauration de nouveaux tribunaux
de noblesse (fora nobilia), a fait que les anciens dossiers des tribunaux ont perdu leur importance
pratique.
En vertu de la disposition du Tribunal national du 27 XII 1783, les dossiers d’archives des tribunaux
ont été transférés à Lviv et déposés dans l’ancien bâtiment de la bibliothèque du monastère des
Bernardins (d’où le deuxième nom des archives), plus tard, en 1794, on a créé des archives sous le
nom de Caesareo–regium antiquorum actorum terrestrium et castrensium Galiciensium tum corroborationis
documentorum officium (L’office royal et impérial des anciens dossiers municipaux et territoriaux
de Galicie et de la corroboration des documents). En tant qu’entité d’État, les archives n’ont
a pas existé longtemps. En vertu des décrets impériaux du 16 XII 1808 et du 3 I 1810, elles ont été
réorganisées et soumises au Tribunal de Noblesse à Lviv en tant que partie de la « Tabula Nationale »
(Tabula regi). En vertu de la résolution de la Diète du 21 VIII 1877, les archives de Lviv ont été subordonnées
au Département national et ont reçu un nouveau nom — Archives nationales des Dossiers
municipaux et domaniaux à Lviv.
Une nouvelle étape dans l’histoire des Archives a commencé après la renaissance de l’État polonais
en 1918. A partir du 1er X 1919, les Archives ont été subordonnées au Département d’Archives
d’État et ont reçu un nom nouveau : Archives domaniales de Lviv. L’institution a appartenu à ce
groupe d’archives de la période d’entre-deux-guerres, qui ont gardé un nombre important d’archives
datant de l’époque de la Première République de Pologne (14,7%). En 1929, dans les archives il y avait
1569 mètres linéaires d’archives (notamment 1074,60 mètres linéaires de documents de l’époque
de la Première République, 493,94 mètres linéaires relatifs à l’époque des partages), ce qui constituait
2% du fonds d’archives national existant.
Tout au long de leur histoire, les Archives de Bernardins ont atteint un haut niveau scientifique
et organisationnel. En conservant la plus grande collection de registres des tribunaux municipaux et
domaniaux, les Archives ont joué un rôle important en assurant la protection des dossiers des institutions
d’État de Galicie et des dossiers des personnes privées. Ce côté de l’activité des archives avait
une grande importance parce qu’on est parvenu à sauver de précieux parchemins, registres judiciaires,
documents de collectivités territoriales et différents actes relatifs au fonctionnement juridique des
villes et des villages de Galicie, menacés de perte ou destruction et on a facilité l’accès aux documents
à des fins scientifiques.