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Flavius Josèphe, table des matières

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<strong>Flavius</strong> <strong>Josèphe</strong>, ANTIQUITES JUDAÏQUES, livre 14.<br />

<strong>des</strong> conquêtes d'Alexandre Jannée (XIII, 396) en Moabitide :<br />

Médaba, Lemba (= Libba), Oronas, Zara (= Zôara). En outre Athôné<br />

est probablement identique à Telithôna de ce dernier texte. Le reste<br />

est inconnu sauf Marissa qui ne saurait être la ville iduméenne bien<br />

connue. Voir sur ces questions difficiles Tuch, Quaestiones de Fl.<br />

Josephi libris historicis, p. 15 suiv.<br />

[9] Cette anecdote ne parait pas empruntée à Nicolas, mais à la<br />

tradition rabbinique. L’histoire de la prière d'Onias pour la pluie se<br />

retrouve dans la Mishna, Taanith, III, 8.<br />

[10] Probablement la Pâque de 65 av. J.C.<br />

[11] Il y a aussi trace de cet épisode dans la tradition rabbinique. Voir<br />

Derenbourg, Essai, p. 113. On a remarque, avec raison que <strong>Josèphe</strong><br />

en combinant ces deux anecdotes s'est embrouillé. Le cyclone est le<br />

châtiment de la perfidie envers les assiégés et non pas, comme il<br />

l'avait annoncé, du meurtre d’Onias.<br />

[12] Trois cents d'après Guerre.<br />

[13] Cet épisode n'est pas inséré à sa place chronologique car Pompée<br />

n'arrivera réellement à Damas que plus bas (Cf. Niese, Hermes, xi,<br />

471). On peut en conclure avec certitude que <strong>Josèphe</strong> l'a emprunté<br />

directement à Strabon, et non pas à travers Nicolas. Mais il n'est pas<br />

facile de savoir où s'arrête la citation de Strabon. Naber la termine<br />

avec le …charme <strong>des</strong> yeux, Niese (et sans doute Schürer) la prolonge<br />

jusqu'aux mots “500 talents”. Mais nous croyons que la dernière<br />

phrase On dit que… y appartient encore, car les mots tòn ƒIouøaÛvn<br />

dun‹sthn ne sont pas dans la manière de <strong>Josèphe</strong> ni dans celle de<br />

Nicolas. On ne comprend pas très bien pourquoi les informateurs de<br />

Strabon attribuaient à Aristobule l'envoi de cet objet qui portait la<br />

dédicace d'Alexandre (Jannée) (La correction ƒAristoyoælou au lieu<br />

ƒAlej‹nörou n'est qu'une conjecture du ms. E). On peut se demander<br />

s'il ne faut pas distinguer deux vignes, émanant l'une d'Alexandre,<br />

l'autre d'Aristobule (cette dernière pourrait être celle qui figura au<br />

triomphe de Pompée, Pline, XXXVIII, 2, 14). Cf. Revue <strong>des</strong> ét.<br />

juives, XXXVIII (1899), p. 170. Mais j'ai eu tort d'identifier la vigne<br />

d'Aristobule avec le présent de 400 talents offert à Scaurus et touché<br />

par celui-ci (voir plus haut).<br />

[14] Hiver 64-63 av. J.-C.

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