La pierre et le sabre - Eiji Yoshikawa

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— Lâche ! — Amateur ! Eux-mêmes étaient loin de se rendre compte que leurs fanfaronnades, purement verbales, révélaient leur faiblesse. Jusqu’à ce que la horde acquît une certaine cohésion, Musashi eut le dessus. Il examina leurs visages, repéra ceux qui risquaient d’être dangereux, distingua les points faibles du groupe, et se prépara pour la bataille. Il prit son temps, et après avoir lentement scruté leurs visages, déclara : — Je suis Musashi. Qui m’a crié de m’arrêter ? — Nous. Nous tous ! — Si je comprends bien, vous faites partie de l’école Yoshioka. — Exact. — Que me voulez-vous ? — Tu le sais bien ! Es-tu prêt ? — Prêt ? Les lèvres de Musashi se tordirent en un rictus sardonique. Le rire qui jaillit de ses dents blanches glaça leur excitation. — ... Un véritable guerrier est prêt jusque dans son sommeil. Avancez-vous quand vous le voudrez ! Quand on vous cherche une querelle absurde, à quoi bon tenter de parler comme un être humain ou d’observer l’étiquette du sabre ? Mais dites-moi une chose. Votre seul objectif est-il de me voir mort ? Ou voulezvous vous battre en hommes ? Pas de réponse. — ... Etes-vous ici pour me régler mon compte ou pour un combat de revanche ? Musashi leur eût-il prêté le flanc par le moindre faux mouvement de l’œil ou du corps, leurs sabres eussent jailli vers lui comme l’air dans le vide ; mais il garda un parfait aplomb. Nul ne bougea. Le groupe entier se tenait aussi immobile et silencieux que les boules d’un chapelet. Du silence confus jaillit un cri sonore : — Tu devrais connaître la réponse sans avoir besoin de la demander ! Musashi, jetant un coup d’œil à celui qui parlait ainsi, Miike Jūrōzaemon, jugea d’après l’aspect de cet homme qu’il était un 758
samouraï digne de défendre la réputation de Yoshioka Kempō. Lui seul avait l’air disposé à sortir de l’impasse en portant le premier coup. Il s’avança. — ... Tu as estropié notre maître Seijūrō, et tué son frère Denshichirō. Si nous te laissons vivre, comment pouvons-nous marcher la tête haute ? Des centaines d’entre nous, fidèles à notre maître, ont juré de supprimer la cause de son humiliation et de venger l’honneur de l’école Yoshioka. Ce n’est pas une affaire de rancune ou de violence aveugle. Mais nous voulons venger notre maître et apaiser l’âme de son frère tué. Je ne t’envie pas ta position mais nous voulons ta tête. En garde ! — Ton défi est digne d’un samouraï, répondit Musashi. Si c’est bien là ta véritable intention, il se peut que je meure de ta main. Mais tu parles d’accomplir ton devoir, tu parles de revanche selon la Voie de samouraï. Dans ce cas, pourquoi ne me défies-tu pas suivant les règles, comme l’ont fait Seijū et Denshichirō ? Pourquoi cette attaque en masse ? — C’est toi qui t’es caché ! — Folie ! Tu prouves seulement qu’un lâche attribue aux autres de la lâcheté. Ne suis-je pas ici debout en face de toi ? — Parce que tu avais peur d’être pris en essayant de t’enfuir ! — C’est faux ! J’aurais pu m’enfuir de mille manières. — Et tu croyais que l’école Yoshioka t’aurait laissé faire ? — Je croyais que vous m’accueilleriez d’une manière ou d’une autre. Mais ne serait-il pas déshonorant pour nous, non seulement en tant qu’individus mais en tant que membres de notre classe, de nous bagarrer ici ? Devons-nous semer le trouble parmi les habitants de ce quartier, comme une horde de bêtes sauvages ou de vagabonds indignes ? Tu parles d’obligation envers ton maître ; mais une bataille ici n’accumulerait-elle pas une honte encore plus grande sur le nom de Yoshioka ? Si c’est là ce que vous avez décidé, alors vous l’aurez ! Si vous avez résolu d’anéantir l’œuvre de votre maître, de dissoudre votre école et de renoncer à la Voie du samouraï, je n’ai rien d’autre à dire – excepté ceci : Musashi se battra tant que ses membres tiendront ensemble. 759
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1
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Titre original : Musashi © Fumiko
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Toutefois, l’on goûtera surtout
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traître en 1582. Le plus capable d
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au service d’un seigneur. Il fond
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Livre I LA TERRE 11
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complètement. Il ne fallut pas plu
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La tempête du quinze marqua la fin
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— Des samouraïs, haha ! dit Take
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— S’il y en avait par ici, je c
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Les coups légers frappés à la po
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Loin d’être une insulte, ce surn
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Ici, comme Takezō ouvrait des yeux
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Akemi se taisait. — ... Elle croi
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adulte, et il lui arrivait de faire
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veille, il aurait été stupéfait
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Ayant reçu le sabre en chêne noir
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n’avait pas grand-chose à perdre
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— Je vous plonge dans l’embarra
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Comme elle ne bougeait pas, il expl
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ois enflammé jusqu’au plafond ;
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libre, sans remords, sachant que si
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à songer que peut-être elle avait
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En un rien de temps, ils eurent vid
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En regardant les toits de Miyamoto,
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dessus le thé sucré, j’aurais p
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Il hocha la tête avec un soupir de
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— A vrai dire, répondit-il, song
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— Ogin ! s’écria Otsū, alarm
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— Peut-être que de son point de
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dizaines de fois... tant de fois,
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— Et pourquoi non ? — Otsū m
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Osugi se mit à trembler de fureur,
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— De quel « jeune démon » voul
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ni celui de Takezō ni celui de Mat
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— Permettez à une vieille femme
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lui évoqua le lait maternel. Debou
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— Oui. — Est-ce que les hommes
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Il essaya de l’appeler, mais il a
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pas que tu devrais t’en aller du
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yeux à chercher ses propres affair
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— J’ai mal au cœur. J’ai vu
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Comme la porte était close, il ne
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— Non, pas le moins du monde, dit
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Sa face congestionnée devint pourp
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je t’ai conseillé de cesser de m
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— Vous ne parlez pas sérieusemen
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de vies humaines. Comparée au nomb
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— Oui. Mais si nous ne faisons pa
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— Oh ! Takuan, tu sais dans quel
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pas ce que je veux dire. La nuit es
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— Takuan, c’est notre dernière
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nous regarde à la dérobée, en se
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— Bon. Je ne joue pas très bien,
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ompu, et que le poisson s’était
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Takezō ne manifesta pas de surpris
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colline pour savoir s’il avait r
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Se retournant vers le prisonnier, e
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— ... Prêt ? demanda Takuan en t
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Ni les gens qui l’entouraient, ni
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— Voudrais-tu dire par là que tu
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— Qu’est-ce que tu as dans la m
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— Je t’écoute. — Si j’avai
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— Alors, punis-le ! Tue-le ! Main
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Arrivée à la porte de sa chambre,
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— Vous ne voulez pas dire qu’il
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— Oh ! que non ! Pas si vite ! Il
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coups. Quand on a perdu, on a perdu
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ferma les yeux qui venaient de conn
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en avait conscience, c’était une
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— Cours aussi vite que tu peux. V
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Quand tous eurent fait silence, ell
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— Tu as eu la prévoyance de t’
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ne s’est pas remise. En réalité
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Il prit une respiration, et s’él
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Un plan commença de prendre forme
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Takezō empoigna par les cheveux la
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château d’un daimyō. Il faudrai
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— Et il va me falloir vous en pun
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Il y a ceux qui sont lointains. »
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salutations et menus propos d’usa
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admiration, respect et amusement, t
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ésultat : il a été banni à jama
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— ... Lâche ma manche, ordonna-t
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Musashi couvrit sa petite main blan
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Livre II L’EAU 171
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courtoisie. Son plus grand rival en
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Tōji se mit à rire. — Mais ça
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— Je n’aime pas qu’on me trai
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— Tu es membre de cette école, e
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leur aide, pouvaient se montrer ser
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— Lâchez-moi ! cria-t-elle. —
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Seijūrō s’émerveillait. Voilà
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masculins, s’habillaient en homme
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— Toi, à peu près, à l’insta
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— Ils sont bien trop grossiers...
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n’avait connu que sa vie au villa
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La roue de la fortune Pour l’éco
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connu le peigne depuis un an pour l
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Peu après le départ du médecin,
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nombreuse était l’assemblée qu
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croirais assez. Après tout, il att
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— Euh, c’est pas le bon... pas
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A l’intérieur de la maison, on e
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— Vous nommez-vous Miyamoto, mons
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son épaule, il vit que les hommes,
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fils. Voilà près de deux mois qu
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Dégainant à la vitesse de l’éc
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Dans la cuisine au sol en terre bat
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Curieux de ce qu’ils pouvaient bi
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Il commença à se décrotter les p
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efus. Il ne pouvait savoir, bien s
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enommée, de gloire, ou plutôt d
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c’était peut-être la meilleure
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aison, réveiller en lui l’état
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— Je veux que tu lui fasses une c
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— Pas du tout ; c’est la vérit
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Convaincue par le peu qu’avait di
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— ... Eh bien, était-ce un tube
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— Ce n’est pas un tube à lettr
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Le samouraï avait peine à cacher
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du Hōryūji, et Ban Dan’emon au
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En songeant à cette éventualité,
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— Ecoutez-le ! Il a l’air d’u
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Musashi se découvrit et dit : —
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Tandis qu’il foulait le sol meubl
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Musashi prit le livre, l’ouvrit e
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Tous les yeux se rassemblèrent sur
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— Vous n’aurez pas besoin de m
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ambition se manifestent dans chacun
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Même une fois parti, la brûlure d
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La servante sortit de la maison, et
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pas vouloir changer de sujet, il pr
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inhumain. Depuis deux jours, cette
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devenir un grand homme d’épée.
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etroussait fortement vers le haut d
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l’homme appelé Miyamoto, quittai
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même. Ce n’était pas le moment
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dans une seule intention : le tuer.
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— Cette fumée, là-bas : elle a
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Musashi, persuadé que les rōnins
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sang répandu sur la plaine n’ét
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de répondre à la courtoisie d’I
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— Pas le moins du monde. Vous ave
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Pendant que Jōtarō le faisait, Ni
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claire - idéale, disait-on, pour f
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— Dans l’Art de la Guerre, comb
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— Mon Dieu, du moins a-t-il eu le
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— Monsieur, je ne vous ai jamais
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Ce n’était nullement de l’exag
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Sans autre forme de procès, il att
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— C’est le monde à l’envers,
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A l’étable, située aux abords d
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— Tiens, tiens ! s’exclama Dens
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mains de la servante, et rengainé
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— C’est donc toi ! s’exclama-
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A Yagyū, les débutants n’étaie
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qu’une minute, dans l’ombre du
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Ils se rendirent au bureau situé a
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La vengeance de Jōtarō De retour
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midi, Musashi envoya l’enfant dem
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Musashi remarqua le bruit d’eau c
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Se rendant compte qu’il ne s’en
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Il allait sortir, quand Musashi l
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— ... Aboie, mon garçon ! Aboie
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Au lieu d’avouer le crime et d’
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Il baissa les yeux vers Jōtarō, q
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En même temps, l’on entendit un
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longtemps que l’un d’eux ne bou
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— Pardonne-moi ! Les mots qu’il
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ossignols lui purifiaient l’espri
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C’était donc bien sa flûte qu
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maintenant différait beaucoup de l
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Elle prit une inspiration profonde
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— Voilà un prêtre. Otsū n’é
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désespoir ; et pourtant une certai
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Takuan soupira en constatant son im
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Livre III LE FEU 355
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délivrés pour une demi-heure de l
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Presque aussitôt, elle plaça de l
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A cet instant, l’un de ses camara
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grossièrement tressé ; à son cô
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— De quel droit ? Vous êtes offi
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— Ne le laissez pas s’échapper
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Tandis que Matahachi contemplait le
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Selon ses critères, aussi longtemp
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mon âge, j’aurais dû faire plus
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sombre, au-dehors... non seulement
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sans porte de la maison abandonnée
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de poussière. En recrachant du pl
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— Il y a sûrement quelque chose.
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ça. Si vous désirez en connaître
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dans cette vie insouciante, il deme
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— Hola ! un autre à moi aussi, e
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et je dois vous prier de m’excuse
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mais Yasoma fit observer qu’aller
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— Kanesuke s’est fait un nom. J
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— Hein ? Quoi ? Qu’est-ce qui v
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— Holà, venez donc voir, vous to
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— Arrêtez-le ! Au voleur ! Aussi
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— Je t’ai dit de garder pour to
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— Ton nom de guerre ? Qu’as-tu
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— Inquiétant. Ce sont tes hémor
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— En réalité, nous n’avons qu
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ang plus élevé : l’arme suspend
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armurier à Osaka pour la faire rem
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— Que n’ai-je pu me rendre à s
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— Oui, je l’ai dit. — Et vous
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Le jeune homme se mit sur une plaqu
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Comme ils criaient en secouant leur
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— Ça n’est pas une chose à fa
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— Tōji ! Me voilà ! criait Okō
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— Oh ! je suis si contente ! rouc
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La face de Tōji s’empourpra. Il
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— Ce n’est pas que nous aimions
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L’eau bleue de la mer Intérieure
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— Je veux m’en aller. — Je vo
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n’avons pas célébré ensemble l
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— Non ! Qu’as-tu fait jusqu’
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— Oui, c’est bien ça ! Elle ha
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ête et un homme compatissant. Mais
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— Oui, mais ne t’inquiète pas.
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Il disait cela moins par détermina
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Durant un moment, tous restèrent m
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— Tu ne sais pas encore à qui tu
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pointe de son sabre manqua sa cible
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Jusque-là, celui-ci n’avait pas
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— Eh bien, vous pouvez voir quel
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Etant donné que nous nous intéres
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— Oui, j’ai entendu parler de l
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Les mots proprement dits n’auraie
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— Qui diable êtes-vous ? demanda
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Imaginant un ennemi en face de lui,
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Cette expérience donna à réfléc
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Impossible à Musashi d’ignorer p
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Musashi, en agissant comme il le fa
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maigre bosquet voilé de brouillard
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s’unissait à la surface de la mo
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elle avait été remarquée par le
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— Jōtarō ! dit Otsū en lui rel
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— Oh ! rien, répondit l’enfant
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— Je regrette de vous avoir fait
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— La faveur que je désire vous d
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Isuzu. Là-dessus, rassemblées aut
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— Parce que je ne veux pas ! —
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côté de l’eau, à sa gauche, le
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— Comment avez-vous appris ça ?
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— Vingt-deux ans. — D’où ven
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Lorsqu’Iwa revint avec le saké,
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était-il devenu soudain amical et
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tendus à se rompre. Il savait que
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mercuriale de leur chef, mais en ar
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Musashi devait-il le tuer ? S’il
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— Ne pourrions-nous manger mainte
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et renvoyer de Minakuchi la jument
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— Attention ! J’ai été bien g
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de Musashi, elle ferait un excellen
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moyen de l’arrêter avec une simp
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— Vous venez de l’autre côté
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excuses, et laissé passer. En fait
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— Jōtarō ! — Je vous taquine.
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Musashi. Otsū n’avait pas une pa
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— Mais si, je vous suis profondé
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Le papillon en hiver Akemi se gliss
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Akemi en avait assez. Furieuse, ell
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hommes ! Eh bien, je suis peut-êtr
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Tanzaemon. Mais elle n’avait pas
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Le pot, en bouillant, réchauffa pe
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— ... Allons, allons, ne pleurez
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queue. Il s’est caché quelque pa
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pitié de Seijūrō car il manquait
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Le soir, Tanzaemon rentra de sa tou
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année. Les sabres de bois s’éta
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Les marchands se turent, mais ne bo
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Sa confiance en lui n’était pour
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En regardant les yeux et la naissan
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sur le seuil et s’en aller ; mais
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Satisfait de cette troisième tenta
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l’avaient porté sans encombre à
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elle avait d’abord pris le feu po
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Ses épaules saillantes, ses côtes
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La vieille femme se redressa de tou
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Cependant que Musashi, lèvres serr
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dissuasif, en les soufflant à la f
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— ... Vous vivez toujours avec Ma
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longue mèche sur le devant s’app
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manifestement intime entre elle et
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— ... Allons, Akemi, je crois que
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Otsū ne faisait pas mine de se lev
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plantée là. Voilà sûrement pour
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Jōtarō parvint bien à dégager s
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— Eh bien, ne veux-tu pas du moin
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l’An remplissait les rues. Un gro
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Le champ flétri Les hommes d’ép
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Il était maintenant sept heures pa
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prisonnier. Voilà plus de dix jour
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leurre. Un observateur eût fort bi
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Les autres le rattrapèrent, puis r
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transporter son corps dans l’autr
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— Je le ferai si vous voulez. —
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Mais il savait bien que cela ne l
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naturel, ils s’étaient constitu
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Il posa pinceau et papier sur la pe
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Puis elle posa les questions habitu
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Il reboucha son encrier qu’il pos
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d’ésotérique. Si vous êtes un
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— ... Alors, cette entaille, Musa
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plaisirs de Kōetsu. La tête incli
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— Heu... heu... Je sais, je sais.
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— Vous l’aurez cherché ! cria
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étourdi pour avoir une réaction r
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protection de Kannon pour la famill
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Ces mots furent simultanément pron
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Interprétant les questions de Koji
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— ... Akemi ! appela Kojirō. Des
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Matahachi, qui avait fait la moiti
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dire que tu es incapable de subveni
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Gempachi fouilla sous le kimono de
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— Je vais m’abstenir de te tuer
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absolue de son frère. Du vivant m
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Il chantait encore, quand l’arriv
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Même lui en était venu à se rend
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— Parle pour toi ! Tu as toujours
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Denshichirō éclata d’un rire vo
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frère ! S’il estime que nous dev
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— Devrons-nous avertir votre frè
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d’œil, quelqu’un demandait :
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possédais encore un peu de l’inn
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— ... Laissez-moi vous expliquer,
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Cette voix tremblante et ce visage
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Osugi s’élança vers l’arbre.
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— ... Ai-je jamais parlé d’exc
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Les enfants, se disait Matahachi, o
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— Hon’iden Matahachi. — Matah
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Il lui prit la main, mais elle la l
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Mais il ne tarda pas à revenir en
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— Je t’ennuierai, compte là-de
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à leur mort au Paradis de l’Oues
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— Monsieur, dit l’aubergiste, l
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L’aubergiste, un peu plus tôt,
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samouraïs. Il frayait avec la gran
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peinture de Liang-k’ai possède u
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paraissait aussi enthousiaste que s
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Une fois qu’ils furent dehors, K
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Musashi ouvrit la lettre avec dési
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Shōyū devait connaître son oncle
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Musashi ne s’aperçut que ses com
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— Uneme, Tamumi, Itonosuke ! Vene
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débuté comme une petite plaisante
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— Ce n’est pas cela. Je ne suis
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Comme ils se mettaient en marche, l
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L’on dressa l’oreille. Tandis q
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plancher du temple et s’accroupit
Page 707 and 708: — Musashi ! Il était fort consci
Page 709 and 710: — De quoi parlez-vous ? Où ? Qua
Page 711 and 712: l’autre la mort. Il considérait
Page 713 and 714: Denshichirō, mais s’irritait de
Page 715 and 716: effroyablement fiers de leur rang m
Page 717 and 718: ien que son teint plutôt sombre f
Page 719 and 720: Il la prit par la main, et se leva
Page 721 and 722: Takuan et le seigneur Karasumaru é
Page 723 and 724: Quittant son coussin, il posa les d
Page 725 and 726: derrière, et la cour se trouvait s
Page 727 and 728: discrètement elle tira de sa propr
Page 729 and 730: Le poème de Takuan était dans le
Page 731 and 732: samouraïs fortement armés rôdent
Page 733 and 734: Elle ne voulait à aucun prix se re
Page 735 and 736: Les grosses cordes bourdonnaient co
Page 737 and 738: ois par terre. Le chant du coq lui
Page 739 and 740: fruits orangés derrière les murs
Page 741 and 742: Mitsuhiro considérait l’enfant a
Page 743 and 744: le priant à nouveau de permettre
Page 745 and 746: chiot perdu qui se rappelle soudain
Page 747 and 748: — Par où est-il passé ? — Il
Page 749 and 750: L’enfant regarda de nouveau par l
Page 751 and 752: — Certainement, répondit Jōtar
Page 753 and 754: surprise ! songeait-il. Elle sera t
Page 755 and 756: — Vous ferez ça ! Quoique mal à
Page 757: pouvaient s’appuyer sur la rumeur
Page 761 and 762: accompli des actions remarquables,
Page 763 and 764: — J’accepte l’heure et le lie
Page 765 and 766: lui-même viendra peut-être vous a
Page 767 and 768: endait compte qu’il ne pouvait in
Page 769 and 770: froide sur la tête. Si vous ne ren
Page 771 and 772: — Ils vont tuer Musashi demain. J
Page 773 and 774: — Si. — Je le pensais bien. Ma
Page 775 and 776: une semaine sans t’assurer qu’e
Page 777 and 778: Le piège mortel La lune était enc
Page 779 and 780: — ... Quelqu’un a-t-il du feu ?
Page 781 and 782: On entendit des froissements de bam
Page 783 and 784: tout naturel que je sois favorable
Page 785 and 786: — Hum... Je vois ce que vous voul
Page 787 and 788: Il portait la coiffure et le hakama
Page 789 and 790: — Y êtes-vous allé jeter un cou
Page 791 and 792: — Je sais. Il continua de descend
Page 793 and 794: vue d’une petite force en attaqua
Page 795 and 796: lumière tomba en plein sur elle, s
Page 797 and 798: Le paisible reflet du ciel se chang
Page 799 and 800: lui devait pour sa dévotion et sa
Page 801 and 802: pas là ce que j’éprouvais réel
Page 803 and 804: Avec une grande force et un calme p
Page 805 and 806: Jusqu’au pied du mont Daimonji, i
Page 807 and 808: nombreux raccourcis qui s’entrecr
Page 809 and 810:
— Tu n’étais pas jeune à ce p
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— Ha ! ha ! Et voir le nain à fi
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Le son bienvenu de l’eau frappa s
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sanctuaire d’Atsuta. La découver
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Sa colère éclata : « Les lâches
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L’attaque était d’une incroyab
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Ce choc en retour inattendu trancha
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Tandis qu’il poursuivait sa lente
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grand sabre. Par la suite, cette te
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proie des flammes. Quatre décennie
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tués ou blessés ? Musashi ne pouv
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— Mon Dieu, oui. Je leur ai dit q
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prêtres-guerriers eussent perdu le
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Le souvenir de Genjirō ne l’en t
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qu’un chaton. Bien que la face f
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véritable ennemie. Personne, pas m
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dans une jarre à saké. Quand la j
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— Il y a quelqu’un ? Suivant l
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— Tais-toi. Ce genre de conversat
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sentiment de solitude que j’épro
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— Terrible, marmonnait-elle, comm
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— Que se passe-t-il, ici ? Vous !
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— ... L’homme de la rue croit d
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fait. Permettez-moi de vous félici
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— Ça, alors... Par moments, vous
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— Vous sortez ? — Tu es encore
Page 861 and 862:
sourire. Il était perplexe et hont
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manquaient. Rayonnante de bonheur,
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Matahachi crut un moment qu’il y
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— Je continue mon chemin jusqu’
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— Oui, mais je ne suis point pres
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— Il ne faut pas ! Il ne faut pas
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A mi-pente, Otsū s’arrêta pour
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Table des matières Avant-propos d
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La pierre et le sabre - Eiji Yoshikawa

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